Savoir se ménager (et laisser traîner)

Après quelques mois dans mon nouveau boulot, j’ai fait face à quelques complications : Ma liste de tâches à faire ne diminuait pas. Pire, elle rallongeait.

La raison ? La plupart de ces tâches prennent des jours voire des mois à réaliser, et la complétion de ces tâches n’est pas urgent dans la plupart des cas. Ce qui l’est en revanche, c’est qu’elles atteignent un certain niveau de complétion. Pour faire simple : Toutes mes tâches sont commencées mais très peu sont terminées.

Après quelques échanges avec mes collègues, il semble que ce soit le lot de tous dès lors que l’on travaille dans une organisation de taille relativement importante. De façon plus ou moins consciente nous travaillons selon le principe de matrice d’Eisenhower, on traite de qui est urgent et important, et le reste vient plus tard ou ne vient jamais.

C’est pour ma part quelque chose de psychologiquement éprouvant au premier abord car j’éprouve beaucoup de satisfaction à cocher les cases de ma todo list, cela a été une source de découragement, me donnant l’impression de ne jamais avancer sur mes chantiers.

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